Dans la vidéo vous découvrirez pourquoi un Krach pourrait survenir en 2024 ou en 2025, car plusieurs éléments économiques non-résolus en 2008 pourraient rebondir et causer la plus importantes récession.

Quand on achète un bien immobilier en Floride, c’est évidemment une opportunité captivante pour nous Canadiens. Séjourner au soleil pendant les longs mois d’hiver, on en rêve tous! Mais au moment de votre achat, portez bien attention aux droits de propriété auxquels vous serez soumis en cas de décès.
Êtes-vous mariés ou vivez-vous en union libre?
Eh oui, en Floride, le « common law marriage, » également connu sous le nom de « marriage by common law » ou « mariage de fait, » n’est pas reconnu. Cela signifie que les couples qui cohabitent sans avoir célébré un mariage formel ne bénéficient pas des mêmes droits et obligations juridiques que les couples mariés légalement.. et cela s’applique à vous aussi, même si votre union de fait au Québec est reconnue.
Avant la clôture de la transaction, l’agent de titres vous fera parvenir un document d’engagement qui indiquera les types de droits auxquels les acheteurs sont associés. Un couple marié se voir reconnu automatique un droit de survivance, ce qui signifie qu’au décès de l’un des conjoints, la propriété passera au conjoint survivant sans autre formalité.
Pour les couples non mariés, il y a deux possibilités soit ( on suppose ici que les parts de propriété sont égales):
Tenancy in Common (Indivision) :
- En cas de décès d’un co-propriétaire, sa part de propriété est transmise à ses héritiers ou légataires, conformément à son testament ou aux lois successorales en vigueur.
Joint Tenancy with Right of Survivorship (Indivision Conjointe avec Droit de Survie) :
- Cette forme d’indivision est similaire à l’indivision conjointe, mais elle inclut explicitement le « droit de survie ».
- En cas de décès d’un co-propriétaire, sa part de propriété est automatiquement transmise aux autres co-propriétaires, sans passer par le processus de succession.
En résumé, la principale différence réside dans la manière dont la propriété est traitée en cas de décès d’un co-propriétaire. Dans une copropriété ordinaire, la part du co-propriétaire décédé est transmise à ses héritiers, tandis que dans une copropriété avec droit de survie, la part du co-propriétaire décédé revient automatiquement aux co-propriétaires survivants.
Mais que se passe-t-il si 2 couples d’acheteurs non mariés achètent une propriété?
Si cela n’a pas été spécifié à l’agent de titre, la clause de survie n’apparaitra probablement pas et lors du décès d’un des propriétaires, la distribution des biens se fera conformément aux dispositions du testament du Québec. Il sera alors nécessaire de faire homologuer ce testament en Floride (traduit en anglais) ce qui suppose de plus longs délais.
Pour alimenter votre réflexion:
Avant de conclure votre achat, déterminez le type de droits que vous voulez et vérifiez ce qui est écrit dans le document de l’agent de titre avant de le signer.
Avertissement: Cet article ne se veut qu’informatif. Il ne doit pas être considéré comme un conseil juridique ou fiscal en matière du droit immobilier de la Floride. Il faut toujours consulter un professionnel en la matière.

Souhaitez-vous maximiser les bénéfices que procurent les cotisations versées à votre REEE? Voici une bonne stratégie à envisager.
Commençons par un petit rappel. Le REEE (régime enregistré d’épargne-études) offre deux avantages importants. Le premier, c’est l’accès à des subventions gouvernementales. L’état versera un montant équivalent à 20 % de vos cotisations, jusqu’à concurrence de 500 $ par an, ou de 7 200 $ à vie. Le deuxième avantage, c’est la croissance à imposition différée du revenu des placements détenus dans le REEE. Bien que le revenu soit imposable entre les mains de l’étudiant au moment de son retrait, il l’est généralement selon une tranche d’imposition beaucoup plus faible.
La limite de cotisation à un REEE est de 50 000 $. Si vous voulez maximiser la subvention reçue, vous devrez verser au moins 2 500 $ par an (20 % de 2 500 $, soit 500 $) pendant 14 ans, puis 1 000 $ la dernière année, ce qui vous permet d’atteindre le plafond de subvention de 7 200 $. Le total de ces cotisations minimales s’élève à 36 000 $ sur 15 ans.
Si votre objectif est de maximiser votre REEE, vos droits de cotisation restant sont de 14 000 $. Bien qu’aucune subvention gouvernementale supplémentaire ne soit versée pour ce montant, vous bénéficiez encore du deuxième avantage du REEE, soit l’imposition différée (aussi appelée « croissance à l’abri de l’impôt »). Afin de maximiser cet avantage, il est préférable de verser les 14 000 $ « additionnels » au compte enregistré dès le début.
En tenant compte de l’ensemble des éléments précédents, la stratégie suivante semble être la meilleure pour tirer le maximum de votre REEE : au cours l’année de naissance de votre enfant, vous versez une importante cotisation de 16 500 $ (le montant de 2 500 $ pour obtenir la subvention et les 14 000 $ « additionnels »), puis vous versez 2 500 $ par an jusqu’à ce que votre enfant soit âgé de 14 ans, et 1 000 $ au cours de la dernière année. Vous atteindrez ainsi la limite de cotisations de 50 000 $, vous recevrez le montant maximal de subventions gouvernementales auquel vous avez droit et vous maximiserez la croissance dans le temps de vos droits de cotisation « additionnels ».
Vous voulez obtenir des fonds supplémentaires et bénéficier d’une croissance composée à imposition différée? Utilisez la stratégie!

Super, on vous a demandé d’être exécuteur testamentaire (ou liquidateur au Québec) – c’est un grand privilège… ou pas? Avant d’accepter ce rôle capital, voici quelques points que vous devriez prendre en compte.
Bien que, sans aucun doute, il soit important d’examiner les fonctions et les responsabilités associées à ce rôle, il est tout aussi essentiel de déterminer si vous avez la capacité ou même le désir de remplir ces fonctions. Cette décision devient encore plus délicate lorsque les actifs en question comprennent des actifs commerciaux ou des actifs situés dans d’autres provinces ou territoires.
Outre ses fonctions administratives (voir ci-dessous), l’exécuteur testamentaire est un fiduciaire qui a le devoir moral et éthique d’agir honnêtement, raisonnablement et dans l’intérêt des bénéficiaires. En tant qu’exécuteur testamentaire, vous détenez la succession « en fiducie » pour les bénéficiaires et vous devez demeurer impartial, éviter les conflits d’intérêts, ne pas confondre les biens de la succession avec les vôtres et ne pas utiliser les biens de la succession à titre personnel. En règle générale, on attend d’un exécuteur testamentaire qu’il procède à l’administration d’une succession dans un délai d’un an (souvent appelé l’« année de l’exécuteur »), mais cela peut ne pas être possible dans le cas de successions complexes ou soumises à des litiges.
Vous pourriez être rémunéré et le montant en question pourrait être indiqué dans le testament; en l’absence d’une clause de rémunération dans le testament, votre rémunération d’exécuteur testamentaire peut tout de même vous être versée, mais elle peut nécessiter l’approbation du tribunal. Toutefois, si une société de fiducie est choisie en tant qu’exécuteur testamentaire, des frais seront généralement facturés sur la base d’une convention d’honoraires préparée au moment de l’exécution du testament. Les sociétés de fiducie représentent une bonne option pour les successions complexes et celles qui peuvent se poursuivre pendant plusieurs années.
Vos fonctions en qualité d’exécuteur testamentaire
Quelles sont donc les principales fonctions que vous devrez assumer en tant qu’exécuteur testamentaire? Bien que la liste suivante ne soit pas exhaustive, en voici quelques-unes :
Localisation du testament. Une recherche testamentaire auprès de la Chambre de notaires et du Barreau sera obligatoire et exigée par l’institution financière, entre autres, lorsque vous irez ouvrir le compte de succession (qui doit être ouvert dans les 6 mois suivant le déces).
Funérailles. Vous devrez examiner le testament ou une éventuelle lettre de desiderata afin de déterminer si des préarrangements funéraires ont déjà été pris ou s’il ya des instructions particulières. Les funérailles relèvent de votre responsabilité et vous devez veiller à ce que les frais funéraires soient payés, même si vous ne faites pas partie de la famille et que c’est probablement cette dernière qui dirigera la planification. Si vous n’avez pas encore accès aux comptes bancaires de la succession du défunt, vous pouvez parfois obtenir les fonds nécessaires auprès d’un bénéficiaire ou payer le montant vous-même et vous faire rembourser plus tard par la succession.
Frais d’homologation. La plupart des provinces appliquent des frais d’homologation sous une forme ou une autre. Des formulaires provinciaux doivent être remplis et il est souvent nécessaire de solliciter des conseils juridiques pour obtenir une homologation. L’homologation est nécessaire afin de prouver que vous, en tant qu’exécuteur testamentaire, avez le pouvoir de gérer les actifs de la succession. Les frais d’homologation et la législation varient selon les provinces.
De même, certains actifs ne sont pas assujettis à l’homologation, parce qu’ils ne sont pas transmis à la succession. Ces actifs comprennent les sommes au titre d’une police d’assurance vie ou d’un régime enregistré versées à un bénéficiaire désigné et les biens détenus en commun qui sont transmis par droit de survie.
Localisation des bénéficiaires et communication avec eux. La localisation des bénéficiaires devrait en général être simple, surtout si vous êtes un membre de la famille agissant en tant qu’exécuteur testamentaire. Elle peut toutefois être difficile dans certains cas, notamment lorsqu’il y a des mineurs, qui sont dépourvus de capacité juridique, des non-résidents ou des enfants de parents non mariés qui peuvent ne pas être connus des autres membres de la famille. Il y a des obligations fiduciaires à respecter à l’égard des bénéficiaires, de sorte que ces derniers peuvent contester les actions et les honoraires d’un exécuteur testamentaire. Des conflits entre bénéficiaires peuvent survenir, ce qui peut vous placer dans une position difficile et, parfois, au cœur d’un litige. Il est recommandé de mettre en place une communication régulière et continue avec les bénéficiaires pour éviter les questions et les problèmes futurs.
Détermination des actifs. Cette tâche peut être la plus chronophage. En règle générale, l’actif le plus important de la succession est la maison du défunt. À moins que la maison n’ait été transmise par droit de survie, votre travail consiste à assurer la sécurité de la maison et de son contenu. En général, cela signifie qu’il faut dresser un inventaire du contenu, s’assurer que l’assurance des biens est adéquate et éventuellement changer les serrures. Vous devez trouver les renseignements bancaires et informer les banques et autres institutions financières du décès, ce qui signifie généralement fournir un testament homologué et un certificat de décès.
Si le défunt possédait des actifs commerciaux, alors il semblerait que votre tâche se complique. Il est à espérer que le défunt avait mis en place un plan successoral pour l’entreprise. Dans ce cas, vous devez consulter les conseillers professionnels du défunt au sujet du plan et discuter également d’une éventuelle planification fiscale post-mortem. Dans le cas contraire, vous devrez mettre en œuvre un plan de gestion des intérêts commerciaux dès que possible. Il sera primordial d’obtenir l’avis de conseillers professionnels dans cette situation.
Détermination des dettes. Il faut retrouver les anciennes déclarations de revenus du défunt pour déterminer ce qui a été fait et s’il reste des impôts impayés. L’Agence du revenu du Canada propose des ressources utiles, notamment les pages Quoi faire suivant un décès et Que faire lorsqu’une personne est décédée. En outre, vous devriez consulter des conseillers fiscaux au sujet de la planification post-mortem, du statut de succession assujettie à l’imposition à taux progressifs et de la production de déclarations supplémentaires pour la dernière année. Il faut également déterminer les autres dettes connues, comme les prêts hypothécaires, les billets à ordre, les dettes funéraires, etc. Vous devez vérifier la présence de passifs éventuels, comme les demandes en droit de la famille. Si, en tant qu’exécuteur testamentaire, vous ne payez pas les dettes connues, vous en serez personnellement responsable; il serait donc prudent que vous vous fassiez connaître afin d’aviser les créanciers potentiels.
Distribution des biens de la succession. Le testament du défunt contiendra parfois des legs aux bénéficiaires, après quoi le reliquat sera distribué aux bénéficiaires résiduels. Parfois, les actifs sont laissés en fiducie pour les bénéficiaires et vous, en tant qu’exécuteur testamentaire, pouvez être le fiduciaire de ces fiducies en cours ou d’autres personnes peuvent être nommées comme fiduciaires.
La présence d’actifs immobilisés et non immobilisés peut entraîner des conflits entre bénéficiaires. Il est possible que vous deviez liquider certains actifs afin de les répartir entre les bénéficiaires. Pour ce qui est des biens personnels, il est à espérer que le testament du défunt décrive la manière dont ils doivent être répartis. Dans le cas contraire, vous devrez déterminer une procédure permettant aux bénéficiaires de réclamer des biens personnels : c’est souvent le processus le plus chargé émotionnellement et des litiges éclatent souvent entre les bénéficiaires – vous devez être prêt à les gérer. Avant de procéder à la distribution finale des biens de la succession, vous devez obtenir un certificat de décharge fiscale de l’Agence du revenu du Canada (et de Revenu Québec). Ce certificat garantit que vous n’êtes pas personnellement responsable d’un éventuel impôt ou autre montant impayé en vertu de la Loi de l’impôt sur le revenu (ou de la Loi sur les impôts du Québec). En outre, vous devez obtenir une décharge écrite des bénéficiaires indiquant qu’ils ont reçu l’intégralité de leur part de la succession. Dans certains cas, il est nécessaire d’obtenir une approbation de comptes auprès du tribunal afin d’approuver la répartition des biens de la succession et votre rémunération. Une fois encore, il convient d’obtenir un avis juridique.

L’engagement d’un exécuteur testamentaire
Être nommé exécuteur testamentaire est en fait un privilège et témoigne du grand respect et de la confiance qu’une personne a en vous et en votre capacité à accomplir ses dernières volontés. Cette nomination s’accompagne également de nombreuses responsabilités; elle peut être épuisante sur le plan émotionnel et, comme le montrent les fonctions décrites ci-dessus, elle peut représenter un investissement en temps considérable. Pour les successions plus petites ou plus simples, dans le cadre desquelles les membres de la famille sont les exécuteurs testamentaires et les bénéficiaires, le rôle de l’exécuteur testamentaire peut ne pas être aussi complexe ou long, mais même dans le cas de successions plus petites, l’émotion suscitée par la répartition de certains biens peut être forte. La communication entre l’exécuteur testamentaire proposé et la personne qui prépare son testament est importante pour que les souhaits du testateur soient bien compris. De même, il est recommandé de mettre en place une communication avec les bénéficiaires pendant la phase de planification pour réduire les désaccords potentiels après le décès. Et bien sûr, il est primordial de consulter un professionnel pour obtenir des conseils.

Dans l’univers numérique qui nous entoure, les microentreprises naissent à une vitesse phénoménale. Ce n’est plus qu’un simple passe-temps. C’est une véritable révolution. Une bonne connexion internet et une bonne idée peuvent vous permettre de vous lancer à votre compte sans beaucoup d’investissement.
Bon ca semble simple à faire, dit de cette façon. Ca demande beaucoup de travail assidu. Mais, la toile regorge de ces microentrepreneurs qui, dans certains cas, obtiennent rapidement du succès. Ils ont tous en commun un fort désir né d’une frustration, d’un irritant rencontré dans leur travail précédent, lorsqu’ils travaillaient pour quelqu’un d’autre. Quelle belle perspective de pouvoir gérer son entreprise, de générer des revenus qui nous procureront des revenus stables
Lorsque l’on se lance en affaires, l’objectif évident est de générer des profits et de rechercher la liberté entrepreneuriale. Cela demande, par ailleurs, une réflexion sur des aspects importants de votre propre parcours d’entrepreneur.
1. S’entourer de bonnes personnes
Une idée d’affaires n’a pas grande valeur en soi, mais une entreprise, en revanche, a une réelle importance. Quelle est la différence entre les deux ? Tandis qu’une idée naît dans l’esprit d’une seule personne, une entreprise est le fruit d’une collaboration entre plusieurs individus. Le premier critère pour choisir un partenaire, qu’il soit rémunéré ou non, est qu’il devrait vous permettre de multiplier vos forces plutôt que de simplement les additionner. Cela signifie qu’il doit apporter une expérience et des connaissances complémentaires aux vôtres, et qu’il devrait vous pousser à relever de nouveaux défis.
En tant qu’entrepreneur, vous pourrez peut être réussir à tout gérer au début. Mais votre entreprise est un système complexe qui requiert l’intégration d’un maximum de savoir-faire pour prospérer. Il est essentiel de développer une confiance envers vos partenaires et de rester ouvert à leurs contributions.
Une affinité avec vos partenaires est également nécessaire. Il ne faut pas juste choisir un partenaire sur ses compétences professionnelles mais prendre le temps de voir si vous pouvez développer une véritable relation d’affaires. Cela signifie être capable de discuter et de résoudre les désaccords sans rancune.
2. Identifier votre recette entrepreneuriale
Qu’est-ce qui vous distingue en tant que personne et entrepreneur ? Le pire ennemi de l’entrepreneur est l’orgueil. Si votre projet ne fonctionne pas comme prévu, il faut faire preuve de persévérance, mais sans s’acharner aveuglément. Il est important d’être capable de prendre la décision parfois difficile d’abandonner. Sur dix entreprises, sept échoueront, deux auront un succès mitigé, et une sera un véritable succès.
Les entrepreneurs qui réussissent ont souvent traversé des échecs monumentaux auparavant. En refusant la possibilité d’un échec, vous ne serez pas préparé à anticiper les éventuelles difficultés, et vous manquerez les connaissances et compétences nécessaires pour les surmonter.
3. Continuellement redéfinir votre offre
Est-ce que votre offre rend vos clients heureux ? C’est une bonne chose. Mais est-elle optimale ? Les entrepreneurs à succès redéfinissent constamment leur offre, qu’il s’agisse d’un produit ou d’un service.
Votre offre ne doit jamais rester figée, elle doit demeurer dynamique et réactive face aux évolutions du marché et aux tendances de l’industrie. L’innovation et l’adaptation au marché sont essentielles. À la fin de la journée, c’est votre client qui détient le pouvoir de mettre fin à votre relation commerciale.
4. Travailler de manière plus efficiente
Les entrepreneurs en démarrage ont tendance à ne pas compter leurs heures de travail. Ils travaillent sans relâche, parfois au-delà du raisonnable. Peu de personnes vous conseilleront de travailler moins, mais c’est pourtant ce que je vous suggère sans hésitation, sans gêne.
Il est crucial de trouver un équilibre entre votre projet entrepreneurial et votre vie personnelle. Si vous ne vous ressourcez pas dans les différents domaines de votre vie, votre projet pourrait finir par accaparer tout votre temps, vous rendant moins efficace. Prendre du recul régulièrement et évaluer la situation est important. Si votre projet prend trop de place dans votre vie, cela pourrait indirectement nuire à son succès.
5. Maîtriser l’art de la délégation
Il est évident qu’en tant qu’entrepreneur, vous ne pouvez pas vous limiter à ce qui vous passionne. Vous devrez acquérir une multitude de compétences hors de votre domaine de prédilection. Cependant, comprenez dès le départ que votre entreprise nécessitera des compétences que vous ne pourrez pas toutes développer vous-même.
La délégation doit devenir une compétence maîtresse. Concentrez-vous sur vos forces et déléguez le reste. Cela signifie aussi avoir confiance en vos employés. Ne les microgérez pas, car ils ont leur rôle à jouer pour contribuer aux revenus de l’entreprise. Recherchez des individus qui ont la motivation de développer l’entreprise, pas uniquement de toucher un salaire.
6. Gérer efficacement
En tant qu’entrepreneur, votre objectif est de rendre votre entreprise rentable. Embaucher des employés peut être facile mais la rentabilité de l’entreprise doit être prioritaire. Cela pourrait impliquer de se séparer d’employés lorsque leur contribution ne bénéficie plus à l’entreprise.
Si votre entreprise connaît une croissance soutenue, vous devez également gérer cette expansion. Les petites hiérarchies se forment, les équipes grandissent, et il est essentiel de revoir régulièrement les processus. Automatiser les tâches opérationnelles et améliorer les processus inefficaces sont nécessaires pour maintenir le cap.
7. Savoir quand partir
Rappelez-vous toujours que personne n’est irremplaçable. Lorsque vous cessez d’apprécier ce que vous faites, vous n’êtes plus un entrepreneur, mais un opérateur. Même si cela peut devenir compliqué si vous avez des partenaires, il est essentiel de garder à l’esprit que la vie est longue lorsque vous n’aimez pas ce que vous faites.
Prendre des pauses et savoir quand partir est une leçon importante. Savoir quand faire une pause pour préserver son bien-être mental est une forme de puissance.
En conclusion, l’entrepreneuriat est un voyage qui demande des compétences variées, de la persévérance et une capacité à s’adapter. Savoir s’entourer, trouver sa voie, innover, travailler efficacement, déléguer, gérer et prendre des décisions éclairées sont autant de facettes essentielles pour réussir dans ce domaine. L’entrepreneuriat permet de vivre une vie que peu de gens seraient prêts à mener pendant plusieurs décennies, en vue de réaliser ensuite une vie que beaucoup envient. C’est une aventure passionnante qui apporte son lot d’adrénaline au quotidien.
Inspiré de: Causerie – Avego Academie – Conférence de François Lambert

La création et le développement d’une entreprise prospère exigent un dévouement inébranlable, une vision à long terme et une gestion judicieuse des ressources. Lors des premières années d’activité, de nombreux propriétaires d’entreprises s’engagent pleinement dans la croissance de leur société, réinvestissant les bénéfices pour consolider leur empreinte sur le marché. Cependant, dans ce parcours de l’entrepreneur, la question cruciale qui se pose inévitablement :
Comment sortir des liquidités de l’entreprise tout en minimisant les charges fiscales ?
Heureusement, pour les entrepreneurs opérant au sein de sociétés privées sous contrôle canadien (SPCC), il existe des voies stratégiques permettant de retirer des fonds de leur entreprise tout en bénéficiant d’exonérations fiscales prévues par la législation.
Dans cet article, nous regarderons de plus près, l’assurance maladie grave.
Protection financière en cas de maladie grave
Pour les propriétaires d’entreprise, une maladie grave peut avoir des conséquences considérables sur leur entreprise et leurs finances personnelles. Lorsqu’ils sont malades, ils peuvent être moins en mesure de diriger leur entreprise de manière optimale, ce qui peut entraîner une diminution des revenus et une perturbation des opérations.
L’assurance maladie grave permet de recevoir un paiement forfaitaire en espèces en cas de diagnostic d’une maladie couverte par la police d’assurance. L’assurance maladie grave peut aussi servir à payer les frais d’exploitation, ou fournir un financement pour payer les dettes de l’entreprise.
En bref, l’assurance maladie grave vise à sécuriser les entrepreneurs et les propriétaires d’entreprise en leur fournissant des ressources financières en cas de maladie grave majeure, tout en leur permettant de maintenir la stabilité financière de leur entreprise.
Sortir des liquidités exemptes d’impôt
Une alternative envisageable est le partage de la propriété d’une police d’assurance maladie grave entre l’entreprise et le particulier. Dans ce scénario, la société et le propriétaire de l’entreprise se partagent les droits liés à la prestation de l’assurance.
La société est le bénéficiaire en cas de maladie de l’assuré, recevant intégralement la somme prévue par l’AMG.
L’actionnaire et propriétaire de l’entreprise est le détenteur personnel de la garantie de remboursement de primes, si évidemment qu’il reste en bonne santé pendant la durée de la couverture.
Pour illustrer, prenons un exemple concret. Si le coût total de la prime pour la couverture d’assurance et l’avenant de remboursement des primes s’élève à 10 000 $, la prestation de remboursement des primes disponible pour l’actionnaire serait de 150 000 $, au bout de 15 ans, soit le montant total des primes payées. Ce sont 150 000$ versés personnellement à l’entrepreneur en franchise d’impôt quand il mettra fin à l’AMG.
Si l’idée est que l’actionnaire reçoive la prestation de remboursement des primes en exonération d’impôts, la clé de cette approche réside aussi dans le paiement de la juste valeur marchande par les parties ( la société et l’entrepreneur) pour leur intérêt respectif dans la convention. Il serait donc avantageux que la société paie la portion la plus importante de la prime. Votre conseiller saura vous guider dans le calcul du partage des primes.
*Prenez note qu’il ne s’agit pas de conseils financiers, fiscaux, actuariels ou juridiques. Les informations présentes proviennent de tiers et il peut s’y glisser des omissions non intentionnelles. Le lecteur doit toujours consulter un professionnel en la matière afin de prendre une décision éclairée.

La préapprobation hypothécaire est en effet un outil important pour les personnes qui envisagent d’acheter un bien immobilier. Cela leur permet d’avoir une idée précise de la somme maximale qu’elles pourraient emprunter auprès d’une institution, ainsi que des taux d’intérêt et des modalités de remboursement qui pourraient s’appliquer. Cela peut être très utile lors de la recherche d’une propriété, car cela permet de fixer un budget réaliste.
Elle vous permet de cibler des propriétés qui se trouvent dans votre fourchette de prix. Cela peut également montrer aux vendeurs que vous êtes un acheteur sérieux et crédible, ce qui pourrait améliorer vos chances d’obtenir la propriété.
L’utilisation d’un courtier hypothécaire peut être avantageuse car ces professionnels sont généralement bien informés sur les produits de financement hypothécaire disponibles sur le marché et peuvent vous guider vers les meilleures options en fonction de votre situation financière. Ils peuvent également vous aider à rassembler les documents nécessaires pour la préapprobation et faciliter le processus.
En ce qui concerne l’impact sur le crédit, il est important de noter que la préapprobation hypothécaire ne nuit généralement pas à votre cote de crédit. Les prêteurs effectuent généralement une vérification de crédit lors de la préapprobation, mais cela est considéré comme une enquête de crédit « douce » et n’affecte pas négativement votre cote de crédit.
Pour obtenir une préautorisation hypothécaire, vous devrez fournir des informations sur vos finances, telles que vos revenus, vos dettes et vos actifs. La banque évaluera ensuite ces informations pour déterminer le montant maximal qu’elle pourrait vous prêter. Cependant, il est important de noter que la préautorisation n’est pas une garantie définitive de prêt. Une fois que vous avez trouvé une maison et que vous faites une offre, la banque examinera à nouveau vos finances et la propriété elle-même avant de confirmer le prêt.
En résumé, la préapprobation hypothécaire est une étape importante lors de l’achat immobilier, car elle vous permet d’avoir une meilleure compréhension de vos options de financement.

Heureux propriétaire d’un bateau, ponton ou de motomarine? Selon Nautisme Québec, les bateaux de plaisance ont la cote au Québec. Profitez bien des plaisirs de l’eau tout en étant bien assuré. Voici un aide-mémoire pour vous y aider.
- L’assurance bateau n’est pas obligatoire au Québec, malgré le grand nombre de propriétaires de bateaux de plaisance dans la province.
- Cependant, souscrire une assurance bateau peut s’avérer essentiel en cas de vol, d’incendie, de bris majeur ou d’accidents lors de la navigation, pour protéger votre patrimoine.
- Le type d’embarcation, sa longueur, sa puissance et votre utilisation détermineront les protections dont vous aurez besoin.
- Vous pouvez ajouter votre bateau à votre assurance habitation dans certains cas, mais dans d’autres situations, vous devrez souscrire une assurance spécialisée.
- Avant de souscrire une assurance bateau, il est important de vérifier les limitations, les exclusions et les détails de la couverture proposée.
- La plupart des contrats d’assurance bateau prévoient une période d’entreposage en hiver, mais les modalités peuvent varier selon le type d’embarcation et l’endroit d’entreposage.
- La couverture de navigation s’étend généralement aux eaux intérieures et côtières du Canada et des États-Unis, mais pour d’autres destinations, vous pourriez avoir besoin d’une extension de couverture.
- Les marinas et certaines infrastructures exigent souvent une assurance responsabilité civile d’au moins 2 millions de dollars pour accéder à leurs installations.
- Selon le type de bateau que vous possédez, vous pourriez avoir des exigences de sécurité antivol à respecter pour maintenir une couverture complète.
- Pour choisir la meilleure assurance bateau pour vos besoins, il est recommandé de consulter un agent ou un courtier en assurance de dommages, qui pourra répondre à vos questions et vous guider dans le choix du bon produit.
N’oubliez pas de discuter en détail avec votre agent ou courtier pour vous assurer d’avoir une couverture adaptée à votre situation spécifique. La navigation en bateau peut être un loisir agréable, mais il est essentiel de se protéger adéquatement contre les risques potentiels.

En effet, il existe des différences importantes entre un chalet et une résidence secondaire, et ces distinctions ont un impact sur les types de protection d’assurance nécessaires.
Un chalet est généralement une habitation qui est utilisée de façon saisonnière ou occasionnelle et peut être située dans des zones isolées ou difficilement accessibles. Étant donné que le chalet n’est pas occupé toute l’année, la protection d’assurance peut être plus de base et adaptée aux risques saisonniers. Les compagnies d’assurance proposent souvent des polices spécifiquement conçues pour les chalets, tenant compte de leur utilisation limitée et de leur emplacement éloigné.
En revanche, une résidence secondaire peut être habitable toute l’année, même si vous n’y êtes pas présent de façon permanente. Étant donné qu’elle est conçue pour une utilisation plus fréquente, la protection d’assurance peut être plus complète et couvrir un large éventail de risques, similaires à ceux d’une résidence principale. Les polices d’assurance pour les résidences secondaires peuvent être plus exhaustives pour assurer une protection adéquate tout au long de l’année.
Bien qu’il ne soit pas obligatoire par la loi d’assurer une habitation, qu’il s’agisse d’un chalet ou d’une résidence secondaire, il est fortement recommandé de le faire pour éviter des pertes financières considérables en cas de sinistre. De plus, si vous avez un prêt hypothécaire pour votre résidence secondaire, votre institution financière peut exiger que vous souscriviez une assurance habitation pour protéger leur investissement.
Pour déterminer la valeur assurable de votre résidence secondaire, les compagnies d’assurance évalueront le coût de reconstruction de la propriété en cas de sinistre total. Cela diffère du prix d’achat ou de l’évaluation municipale, car il tient compte des coûts de reconstruction, y compris les matériaux, la main-d’œuvre et autres facteurs.
Enfin, si vous envisagez de louer votre chalet, il est essentiel de choisir un assureur spécialisé dans les propriétés locatives, car les contrats d’assurance standard peuvent exclure les activités professionnelles, y compris la location de la propriété. Une couverture adaptée aux locations saisonnières ou à court terme sera nécessaire pour vous protéger adéquatement en tant que propriétaire loueur.
En conclusion, que vous possédiez un chalet ou une résidence secondaire, il est essentiel de choisir une protection d’assurance appropriée en fonction de l’utilisation, de l’emplacement et des risques spécifiques associés à votre propriété. N’hésitez pas à consulter l’un de nos courtiers pour obtenir des conseils personnalisés en fonction de votre situation particulière.

Vous avez accumulé un certain patrimoine au cours de votre vie? Inévitablement, ces actifs finiront par être transmis à vos héritiers. Certains de ces actifs peuvent entraîner une obligation fiscale à votre décès ou à celui de votre conjoint.
Qu’est-ce qu’un actif?
Vos actifs se divisent principalement en trois catégories :
- les immobilisations, comme les actions de sociétés publiques ou fermées, les résidences secondaires ou de vacances;
- les actifs qui produisent généralement des revenus à votre décès, comme les actifs enregistrés (REER ou FERR) ou les actifs imposés en tant que revenus, tels que les actifs porteurs d’intérêts (CPG ou fonds du marché monétaire);
- les actifs totalement libérés d’impôt ou qui ne sont pas imposables au décès, tels que les liquidités et les CELI, une résidence principale, ainsi que le capital libre d’impôt au titre d’une police d’assurance vie.
La plupart des gens veulent garder ces actifs – leur patrimoine – intacts pour les transmettre à leur famille, à leurs proches. Pour ce faire, il est important de comprendre le meilleur moyen de financer l’obligation fiscale qui en découle au décès afin que les actifs puissent être transmis sans encombre.
Quatre façons d’obtenir les liquidités pour payer les impôts à votre décès
En règle générale, il y a quatre moyens d’obtenir les liquidités nécessaires pour payer les impôts exigibles au décès, et voici quelques-uns des avantages et des inconvénients de chacun :
Liquider les actifs
Les cycles économiques et l’état des marchés sont déterminants pour la valeur d’un actif. Cependant, vous n’avez aucun moyen de savoir ce qu’elle sera à votre décès. En outre, la vente d’actifs par les ayants droit indique souvent à un acheteur qu’il y a une certaine urgence, ce qui n’aide pas vos ayants droit à en obtenir la pleine valeur.
Emprunter de l’argent
Cela signifie normalement utiliser des actifs en garantie, ce qui peut s’avérer un peu risqué. En planification successorale, l’objectif principal est généralement de distribuer les actifs aux bénéficiaires. Emprunter de l’argent en cédant des actifs en garantie rend la tâche plus difficile. Il n’est pas possible de prévoir les conditions du marché au moment du décès. Les institutions financières connaissent des cycles, tout comme les taux d’intérêt sur les prêts.
Créer une réserve de liquidités
Cette option vous oblige à épargner sans relâche tout au long de votre vie. Ce n’est pas nécessairement l’option la plus pratique, puisque vous ne savez pas quand le décès surviendra et si, à ce moment-là, il y aura assez de liquidités.
Souscrire une assurance vie
En transférant le risque à l’avance, vous éliminez une grande partie des risques associés au financement de l’obligation fiscale au décès. Le capital décès procure des liquidités au moment même où on en a besoin. Au Canada, il est versé au bénéficiaire en franchise d’impôt.
Lors de la planification successorale, il est important d’évaluer vos obligations fiscales actuelles et futures afin de déterminer quel est le meilleur moyen, dans votre situation, de garder votre patrimoine intact en vue de le transmettre à vos proches.
Référence:LInterconnexion
