Quand réviser la police commerciale de votre entreprise?

Quand réviser la police commerciale de votre entreprise?

Comme chef d’entreprise, qu’elle soit petite ou grande, vous gérez au quotidien de multiples activités qui amènent votre entreprise à croître, à prendre de l’expansion. Fort bien.

Toutefois, il est également recommandé de réviser votre police d’assurance commerciale chaque fois que vous apportez des changements significatifs à votre entreprise, tels que l’ajout de nouveaux employés, l’acquisition de nouveaux équipements ou la modification de vos activités commerciales et non pas d’attendre seulement au renouvellement. Cela vous permettra de vous assurer que votre couverture est adéquate et que vous êtes protégé en cas de problème.

En effet, les couvertures d’assurances de votre entreprise varient en fonction de ce qu’elle possède et des revenus qu’elle génère. Ainsi si votre entreprise est en plein croissance, il sera certainement judicieux de revoir les dispositions de votre police d’assurance.

Quelles protections d’assurances faut-il mettre à jour?

Selon la croissance ou l’ajout de nouvelles activités de votre entreprise, il sera bon d’évaluer quelles protections seront à réviser: Par exemple, avez-vous agrandi vos locaux; acquis un nouveau système informatique ou augmenté la flotte de votre parc automobile? En fonction des changements intervenus dans votre entreprise, voici quelques pistes à évaluer:

  1. Assurance responsabilité civile : cette assurance couvre les dommages causés à des tiers (par exemple, des clients ou des fournisseurs) en raison de l’activité de votre entreprise. Elle peut également couvrir les coûts liés aux litiges.
  2. Assurance incendie : cette assurance couvre les dommages causés par un incendie à votre entreprise, ainsi que les pertes de revenus liées à l’interruption de votre activité.
  3. Assurance perte d’exploitation : cette assurance couvre les pertes de revenus subies par votre entreprise en cas d’interruption de son activité due à un sinistre (par exemple, un incendie ou une inondation).
  4. Assurance voyage d’affaires : si vous voyagez souvent pour votre entreprise, il est recommandé de souscrire une assurance voyage d’affaires qui couvre les frais de rapatriement, les frais médicaux et les frais d’annulation de voyage en cas de problème.
  5. Assurance automobile : si votre entreprise utilise des véhicules pour ses activités, il est important de souscrire une assurance automobile qui couvre les dommages causés aux véhicules et les responsabilités de votre entreprise en cas d’accident.

Comment dois-je réévaluer les besoins d’assurance de mon entreprise?

Il y a plusieurs étapes à suivre pour réévaluer les besoins d’assurance de votre entreprise :

  1. Faites un inventaire de vos actifs : il est important de connaître les actifs de votre entreprise et de déterminer combien ils valent. Cela inclut les équipements, les biens immobiliers, les stocks et les données. Cela vous permettra de déterminer quelle couverture d’assurance vous avez besoin pour protéger ces actifs.
  2. Évaluez vos risques : examinez les risques auxquels votre entreprise est exposée, tels que les accidents, les catastrophes naturelles, les litiges, les pertes de revenus, etc. Cela vous aidera à déterminer quelles polices d’assurance vous devez souscrire pour protéger votre entreprise contre ces risques.
  3. Revoyez votre police d’assurance actuelle : examinez votre police d’assurance actuelle et vérifiez si elle couvre adéquatement vos actifs et vos risques. Si ce n’est pas le cas, vous devrez peut-être ajouter des couvertures supplémentaires ou renégocier votre police.
  4. Demander l’avis d’un expert : il est recommandé de consulter un courtier ou votre assureur pour vous aider à évaluer vos besoins en matière d’assurance et à choisir les polices qui conviennent le mieux à votre entreprise.

source:Linterconnexion

Joyeux Temps des Fêtes!

Joyeux Temps des Fêtes!

Toute l’équipe de S’informer pour mieux investir vous souhaite un Joyeux Temps de fêtes!

Que cette période vous permette de prendre un moment de répit avec vos proches.



Bonne Santé et prospérité financière!

Se servir de l’assurance-vie entière pour financer un projet?

Se servir de l’assurance-vie entière pour financer un projet?

Quand vient le temps de souscrire une assurance-vie, il est facile de se laisser tenter par la solution la moins chère et de s’arrêter là. Mais comme pour bien d’autres produits, l’option la moins chère peut s’avérer très dispendieuse à long terme.

Dans le cas de l’assurance vie, l’option peu coûteuse s’appelle l’assurance vie temporaire. Cette assurance vous procure un capital décès fixe pour une période donnée (10 ans, 20 ans, etc.). Cependant, à chaque renouvellement automatique d’une police temporaire (p. ex., tous les 10 ans dans le cas d’une police 10 ans), les primes augmentent considérablement. En outre, les polices temporaires arrivent souvent à expiration du vivant de l’assuré.

Une des plus anciennes polices d’assurance permanente s’appelle l’assurance-vie entière.

Comment le prix des polices est établi?

Il faut comprendre comment les primes de toute police d’assurance vie sont établies. En termes simples, tous les titulaires de police doivent payer les primes à l’assureur et, au décès du titulaire de police, le capital décès est payé par l’assureur. Des actuaires sont chargés de prédire le coût des montants versés annuellement sous forme de capital décès et c’est ainsi que les primes sont établies.

Ces actuaires se montrent prudents dans leurs estimations pour s’assurer qu’il y a toujours assez de fonds pour couvrir tous les décès au cours d’une année donnée. Mais qu’arrive-t-il s’il y a moins de décès que prévu ou si le rendement des fonds placés est plus élevé que prévu? Pour la plupart des produits, comme l’assurance temporaire ou les produits sans participation, la société d’assurance garde la différence.

Qu’est-ce qui distingue l’assurance vie entière avec participation?

Toutefois, dans le cas des produits vie entière avec participation, la différence est distribuée aux clients sous forme de participations. Ces participations peuvent servir à souscrire des montants d’assurance libérée. Par conséquent, votre capital décès augmente au fil du temps, mais vos primes demeurent les mêmes. Encore mieux, les polices d’assurance vie entière garantissent que les primes n’augmenteront pas et que le capital décès ne diminue jamais, et elles sont assorties d’une valeur de rachat qui croît au fil du temps.

Est-ce que l’assurance-vie avec participation répond à vos besoins?

Cela étant dit, les polices d’assurance vie entière sont beaucoup plus chères que les polices temporaires standard. Comment savoir si cette assurance vous convient? En règle générale, l’assurance vie entière est très bien adaptée à deux usages. Le premier consiste à maximiser le patrimoine que vous transmettrez à vos proches. Les polices d’assurance vie entière tendent à produire un rendement très favorable au fil du temps et le capital décès est touché par les bénéficiaires libre d’impôt, ce qui fait de cette assurance un excellent moyen de constituer un héritage pour la prochaine génération.

Le second usage consiste à faire croître la valeur de la police pour s’en servir de votre vivant. En utilisant une forme du produit qui permet de constituer rapidement des valeurs de rachat, vous pouvez céder les valeurs en garantie d’un emprunt pour financer divers besoins que vous aurez de votre vivant, comme des études ou l’épargne-retraite. À votre décès, le capital décès libre d’impôt pourra servir à rembourser le reliquat de la dette.

Il n’est jamais trop tôt pour assurer vos enfants ou vos petits-enfants

Il n’est jamais trop tôt pour assurer vos enfants ou vos petits-enfants

En tant que parent ou grand-parent, vous vous efforcez d’assurer la sécurité de votre enfant, mais avez-vous pensé à sa sécurité financière?

Un excellent départ

De nombreux parents comptent uniquement sur leur régime enregistré d’épargne-études (REEE), ce qui est un bon début. Cependant, l’assurance pour enfants peut être un excellent complément à la sécurité financière de votre enfant, car elle combine l’épargne et la gestion des risques en une seule police. En raison du jeune âge de votre enfant et de son état de santé relativement bon, l’assurance pour enfants peut être très abordable; même un petit montant de prime peut générer des placements supplémentaires dans une police d’assurance vie permanente. De plus, la souscription d’une police d’assurance vie pour votre enfant lorsqu’il est jeune permettra de préserver son assurabilité toute sa vie. Il pourra ainsi souscrire facilement une assurance supplémentaire à l’âge adulte lorsqu’il voudra assurer le bien-être financier de sa propre famille.

Planifier l’avenir

Nous ne pouvons pas prévoir l’avenir. La santé, le style de vie et les choix de carrière de votre enfant plus tard dans sa vie pourraient le rendre non assurable ou l’assujettir à des primes plus élevées, mais en fixant très tôt les taux d’assurance pour la protection souscrite pendant l’enfance et en établissant son état de santé avant ses futures souscriptions d’assurance facultative, vous pouvez éliminer complètement ces obstacles et lui fournir une protection à vie. Lorsque votre enfant deviendra adulte, il pourra devenir propriétaire de la police et de toutes ses garanties, y compris les valeurs de rachat et les options de souscription d’assurance futures, et prendre en charge le paiement des primes restantes. De nombreuses assurances pour enfants offrent même des options de paiement rapide, ce qui vous donne la possibilité de payer entièrement les primes avant de transmettre la police à votre enfant.

Investir dans leur avenir

L’assurance vie permanente avec valeur de rachat et l’assurance maladies graves avec remboursement des primes sont les deux couvertures pour enfants les plus courantes que vous et votre conseiller pouvez envisager. Il n’est pas non plus nécessaire que les montants soient élevés; l’assurance peut être établie en fonction de votre budget. De plus, en raison des exigences minimales de tarification, les assurances pour enfants sont généralement faciles à mettre en place et rapides à régler.

La valeur de rachat de l’assurance vie ou le remboursement des primes de l’assurance maladies graves peuvent également être utilisés par votre enfant pour l’aider à financer ses études universitaires ou comme mise de fonds pour sa première maison – l’assurance pour enfants n’est pas limitée aux études postsecondaires comme dans le cas d’un REEE, ce qui en fait un excellent complément à la sécurité financière de votre enfant.

L’assurance protège votre entreprise et lui ouvre des possibilités

L’assurance protège votre entreprise et lui ouvre des possibilités

Votre vie, votre famille et votre entreprise méritent d’être protégées. Un constat incontournable. Si vous êtes un propriétaire d’une PME, l’assurance peut vous apporter cette sécurité par de nombreuses manières qui vous étonneront peut-être. Elle peut aussi vous donner la possibilité d’augmenter les actifs – et de développer votre entreprise – de façon fiscalement avantageuse pour votre retraite ou votre planification successorale.

L’achat d’actions

Si votre entreprise compte un ou plusieurs actionnaires, pensez à l’assurance lors de la convention d’actionnaires. Advenant le décès ou l’invalidité d’un des actionnaires, le fait d’avoir souscrit une assurance sur sa tête vous procurera immédiatement les fonds nécessaires pour acheter ses parts et permettre à votre entreprise de traverser cette période sans heurt et de demeurer prospère. Il s’agit d’un moyen plus économique et plus pratique de financer le rachat que l’emprunt, la liquidation d’actifs, la constitution d’une réserve ou l’utilisation des bénéfices nets de l’entreprise. Sans le financement nécessaire, le conjoint ou l’enfant du défunt peut se retrouver actionnaire de l’entreprise; une issue qui n’est pas forcément souhaitable pour toutes les parties en cause.

Remarque concernant l’impôt : le capital décès est touché en franchise d’impôt par l’entreprise au décès de l’actionnaire et est porté au crédit du compte de dividendes en capital (CDC). Les fonds du CDC peuvent être ensuite versés, libres d’impôt, aux ayants droit de l’actionnaire. Le CDC est un outil précieux qui peut être utilisé dans le cadre de la planification post mortem pour éviter la double imposition au décès de l’actionnaire.

Garantie d’un prêt commercial

Si vous devez contracter un emprunt pour développer votre entreprise, votre police d’assurance vie peut vous donner les moyens de vous positionner adéquatement. Les prêteurs (soit les institutions financières et bancaires qui prêtent des fonds aux petites entreprises) demandent souvent à l’emprunteur de souscrire une protection d’assurance vie sur la tête des actionnaires et des employés clés comme condition à l’octroi d’un prêt. Ainsi, votre police d’assurance, en plus de vous protéger, vous et les membres de votre famille de même que votre entreprise et ses employés clés, peut également vous aider à rehausser les liquidités de l’entreprise.

Voici d’autres options à prendre en considération :

Assurances des personnes clés : Courante dans les petites et moyennes entreprises, cette assurance protège votre entreprise si elle compte une ou plusieurs personnes clés (p. ex. vous, un autre actionnaire ou un cadre) dont la perte en cas de décès, d’invalidité ou de maladie grave nuirait à la santé financière de l’entreprise.

Don de bienfaisance : Une assurance détenue par une entreprise peut servir à faire un don à une oeuvre de bienfaisance: il suffit de céder la propriété de la police à l’oeuvre de bienfaisance ou d’utiliser la police pour financer un don successoral ou un don de l’entreprise.

Protection successorale : L’assurance peut servir à payer l’impôt exigible au décès de façon à protéger la valeur du patrimoine pour les bénéficiaires, ce qui s’avère un moyen efficace sur le plan fiscal de constituer ou d’accroître un patrimoine.

Partage équitable du patrimoine : Il est courant dans les entreprises familiale que les enfants ne souhaitent pas ou puissent pas tous travailler pour l’entreprise, bien que les parents veuillent traiter tous leurs enfants équitablement. Dans une telle situation, l’assurance vie peut procurer les liquidités nécessaires pour parvenir à cette équité.

Quelques notions de base en placement financier

Quelques notions de base en placement financier

Lorsqu’il est question de placements, il peut être difficile de s’y retrouver parmi les différentes options de retraite et les divers régimes gouvernementaux et types de placements.

Voici quelques notions de base qui pourront vous aider.

Types de régimes

Régime enregistré d’épargne-retraire (REER)

Le régime enregistré d’épargne-retraite est un régime gouvernemental qui permet de déposer des fonds dans un compte où ils peuvent croître à l’abri de l’impôt jusqu’à leur retrait. Comme cotisant, vous aurez droit à une déduction fiscale pour les cotisations versées. Les cotisations sont limitées à un pourcentage du revenu admissible, jusqu’à concurrence d’un maximum annuel. Au moment de la retraite, les fonds détenus dans ce régime peuvent être transférés à un certain nombre d’options productives de revenus, et le titulaire paie de l’impôt sur ce revenu au fur et à mesure qu’il est retiré.

Compte d’épargne libre d’impôt (CELI)

Le compte d’épargne libre d’impôt est un autre régime gouvernemental qui permet de déposer des fonds dans un compte où ils fructifient à l’abri de l’impôt. La différence, c’est que le cotisant n’a pas droit à une déduction fiscale pour ses cotisations. Par contre, il peut retirer les fonds en franchise d’impôt, au besoin.

Compte ouvert, ou non enregistré

Il s’agit d’un compte où les fonds peuvent être investis sans plafond de cotisation, mais où toute croissance réalisée est assujettie à l’impôt chaque année. Il existe trois types de revenus de placement : intérêts, dividendes et gains en capital. Chaque type est imposé différemment, à des niveaux différents. Pour certains gains réalisés (c.-à-d. imposables) l’impôt est payable chaque année, tandis que pour d’autres, l’impôt n’est payable qu’au moment de la liquidation du placement.

Bien qu’il existe de nombreux autres types de régimes, comme le REEE, le REEI, le FRV et le FERR, les régimes mentionnés ci-dessus sont les plus courants.

Types de placement

CPG

Les certificats de placement garanti sont des instruments relativement simples : une institution garantit le taux payable sur le placement pendant une période déterminée (p. ex., 1, 3 ou 5 ans). Habituellement, plus le terme est long, plus le taux garanti est élevé. Les revenus d’intérêts gagnés sont imposés au taux le plus élevé pour les revenus de placement. Pour cette raison, il peut être avantageux de détenir les CPG dans un compte qui permet une croissance à imposition différée, comme le REER ou le CELI, dont il est question ci-dessus.

Fonds communs de placement

Il s’agit de fonds qui contiennent un portefeuille, d’actions et d’obligations. Ils sont constitués par un gestionnaire de portefeuille qui prend les décisions de placement conformément au mandat ou à l’objectif de placement du fonds. Les fonds communs de placement sont assortis de frais correspondant à un pourcentage de leur actif servant à couvrir leurs coûts, habituellement appelés frais de gestion.

Fonds distincts

Il s’agit également de fonds qui contiennent un panier, ou portefeuille, d’actions et d’obligations. La différence, c’est qu’ils sont entourés d’une « enveloppe » d’assurance qui peut garantir une valeur minimale à l’échéance du contrat ou au décès du rentier (généralement, l’épargnant). Ils comportent également certaines caractéristiques et certains avantages en matière de planification successorale, notamment la possibilité d’éviter l’homologation au décès, la nécessité de nommer un bénéficiaire et une protection éventuelle contre les créanciers. Les fonds distincts sont assortis de frais plus élevés que les fonds communs de placement, afin de couvrir le coût de l’assurance.

FNB

Les fonds négociés en bourse sont semblables aux fonds communs de placement en ce sens qu’il s’agit d’un panier d’actions ou d’obligations. Toutefois, les parts du fonds sont négociées en bourse, ce qui permet d’acheter et de vendre tout au long de l’ouverture des marchés, comme pour l’achat d’actions. Les FNB ont généralement des frais de gestion moins élevés que les fonds communs de placement ou les fonds distincts, car ils calquent simplement un indice boursier. Nous appelons cela un placement passif, ce qui est différent du gestionnaire de portefeuille qui crée son propre panier d’actions ou d’obligations et gère activement le placement. Les FNB indiciels à gestion passive suivent simplement un indice boursier global, de sorte que si le marché monte, le fonds monte. Toutefois, le marché et votre fonds peuvent aussi descendre.

Actions

Les actions sont des titres de participation dans une société donnée. Certains épargnants préfèrent choisir leurs propres actions plutôt que de confier ce choix au gestionnaire de portefeuille d’un fonds commun de placement ou d’un fonds distinct. Ces épargnants autonomes travaillent généralement par l’intermédiaire d’une société de courtage offrant un compte en ligne. L’achat ou la vente de ces actions à l’unité comporte des frais de négociation, mais il n’y a généralement pas de frais de gestion associés à ce type de placement.

Conseillers en placement et sociétés de gestion privée de patrimoine

Il s’agit de sociétés qui s’adressent généralement à des épargnants ayant plus de 100 000 $ à placer et qui agissent comme un gestionnaire de portefeuille personnel, interagissant directement avec le client pour ce qui a trait à leurs placements. Ces sociétés investissent souvent dans d’autres catégories d’actifs, outre les actions et les obligations, par exemple l’immobilier, les titres hypothécaires, les sociétés non cotées en bourse et d’autres placements non traditionnels, afin de diversifier davantage les portefeuilles de leurs clients. Pour ces services, les sociétés facturent des frais de gestion sur les placements qui sont habituellement inférieurs, en pourcentage, à ceux des fonds communs de placement ou des fonds distincts.

Conseiller-robot

Ces sociétés agissent de la même façon que le conseiller en placement ou le gestionnaire de portefeuille susmentionnés; elles utilisent toutefois une plateforme en ligne où vous pouvez vous inscrire et gérer votre compte. Lors de l’inscription en ligne, vous répondez à une série de questions qui vous aident à déterminer votre tolérance au risque et vos priorités en matière de placement. Ainsi, votre argent est investi dans l’un des nombreux portefeuilles prédéterminés, souvent composés de FNB, qui peuvent faire l’objet d’un suivi en ligne, 24 heures sur 24, sept jours sur sept. Les conseillers-robots facturent généralement des frais concurrentiels, souvent inférieurs à ceux des fonds communs de placement ou des fonds distincts. Contrairement aux conseillers en placement ou aux gestionnaires de portefeuille, ils acceptent généralement des comptes de petite taille.

Assurance-vie : Comment la choisir quand on est jeune?

Assurance-vie : Comment la choisir quand on est jeune?

Vous avez déjà une assurance-vie? Vous n’en avez pas ? Alors comment choisir une assurance-vie quand on est jeune?

Si vous répondez oui à ces deux questions, bravo! Toutefois, il faut savoir que la plupart des gens sous-estiment le montant d’argent requis pour assurer la sécurité financière de leur famille en cas de décès. Évidemment, la souscription d’une police d’assurance-vie n’est pas l’achat le plus festif qui vous procurera des heures de plaisir, non! Mais il est certainement plus que nécessaire à évaluer. Voici quelques pistes auxquelles il faut réfléchir lorsqu’on envisage le choix d’une police d’assurance-vie.

1ère situation: Je suis jeune, je n’ai pas d’enfants, je n’ai pas besoin d’une assurance-vie tout de suite.

Comme vous le savez sans doute, il existe une relation avec votre âge, votre état de santé, votre mode de vie et les primes d’assurance-vie. Plus vous êtes jeunes et en bonne santé, plus vos primes seront basses. Cela vaut la peine de prendre des informations sur les différents types de régimes d’assurance abordables et souples et qui vous protégeront contre les inévitables aléas de la vie.

2eme situation : J’ai une excellente assurance temporaire.

L’assurance temporaire est bien appréciée par les jeunes car elle est très abordable. Toutefois, l’assurance temporaire, comme son nom l’indique, vous protège pendant une durée déterminée. L’assurance temporaire sera utile par exemple pour les parents qui veulent soutenir financièrement leurs enfants pendant un certain nombre d’années, advenant qu’ils décèdent pendant que leurs enfants sont encore à leur charge. Une fois la période de couverture expirée, les primes seront de beaucoup augmentées. Il vaut donc mieux jumeler une assurance temporaire et une assurance-vie.

3e situation : J’ai une assurance collective.

Il faut savoir que la couverture d’une assurance-collective n’est presque jamais suffisante pour protéger votre famille si vous décédez. De plus, elle cessera si vous quittez votre emploi. Il est vrai que la plupart des régimes d’assurance collective offrent la possibilité de la convertir en assurance-vie personnelle mais à un âge plus avancé, cela sera plus coûteux. Votre conseiller en sécurité financière pourra vous suggérer les meilleures options pour harmoniser votre assurance collective et votre assurance personnelle afin de vous fournir une protection pleine et entière, en toutes circonstances, du niveau de vie et des projets familiaux.

Source :Linterconnexion

L’assurance-vie est importante pour les petites entreprises. Voici pourquoi.

L’assurance-vie est importante pour les petites entreprises. Voici pourquoi.

Vous êtes le seul propriétaire ou actionnaire de votre entreprise. Vous n’êtes pas le seul. Il y a plus d’un million de petites entreprises au Canada. Ce secteur est de toute évidence en pleine croissance!

L’avantage à être de petite ou de moyenne taille c’est que votre entreprise peut s’éviter beaucoup des formalités techniques qui incombent aux grandes entreprises. L’assurance vie ne devrait cependant pas être mise de côté! Quelle que soit la taille de votre entreprise, il est toujours préférable de protéger ses revenus.

Savez-vous, par exemple, quelle serait la valeur de votre entreprise advenant votre décès (ou celui du propriétaire)? Il est peut-être évident que vous gagnez bien votre vie, mais sans vous, quelle serait la valeur de votre entreprise? Il est important de penser à la valeur de revente de votre entreprise et à la façon de soutenir les personnes à votre charge si vous n’êtes plus là.

L’assurance invalidité est aussi un élément important à examiner, car elle n’est peut-être pas offerte par votre entreprise (ou la protection est peut-être insuffisante). Cela signifie que vous êtes plus exposé aux risques financiers liés à une invalidité si un incident devait vous arriver. Demandez-vous encore : « Est-ce que mon entreprise générera des revenus si je deviens invalide et que je ne peux plus travailler? »

Si vous êtes propriétaire d’une petite entreprise, prenez le temps de discuter avec votre conseiller en assurance vie de votre protection contre les risques. Bien que vous soyez un chef d’entreprise indépendant, votre famille ne l’est pas. Elle a besoin de votre soutien et il est important de prendre les mesures nécessaires pour vous assurer qu’il soit maintenu, quoi qu’il arrive.

À quoi sert une assurance maladies graves?

À quoi sert une assurance maladies graves?

Saviez-vous quelle est la probabilité qu’un homme âgé de 40 ans et en bonne santé meure avant d’atteindre 65 ans?

1 sur 12

Si cette statistique peut faire peur de prime abord, sachez toutefois que selon les estimations, 44 % des ménages canadiens possèdent une assurance vie personnelle  pour se prémunir contre une réduction importante du niveau de vie de leur ménage.

Pour tous les groupes d’âge, à partir de 15 ans, qui sont les plus susceptibles de connaître une invalidité ? Les hommes ou les femmes?

La bonne réponse est les femmes.

Les risques de se retrouver en situation d’invalidité sont d’environ 1 sur 4 pour les personnes qui ont entre 45 et 64 ans.

Quelles sont les chances de survivre à une crise cardiaque?

 de 90 à 97 %

Les Canadiens vivent plus longtemps et survivent plus souvent à des maladies graves. Mais avec un risque important de souffrir d’une maladie grave au cours de votre vie (1 sur 4 pour les hommes et 1 sur 5 pour les femmes ), votre filet de sécurité couvre-t-il les risques économiques associés?

Qu’est-ce que la protection contre les maladies graves?

Les risques sont inévitables. Dans le domaine des assurances, il est souvent question des risques.

Vous pouvez vous protéger contre les conséquences financières d’une maladie grave grâce à l’assurance maladies graves. Elle prévoit le versement d’un montant forfaitaire après avoir reçu le diagnostic d’une maladie couverte. Pour être admissible à une prestation, la personne assurée doit survivre à une maladie grave pendant une période de 30 ours. La totalité du montant assuré est versée en une seule fois, puis la police prend fin.

Exemple de liste des conditions couvertes

  • Crise cardiaque
  • Cancer
  • Accident vasculaire cérébral
  • Pontage aortocoronarien
  • Sclérose en plaques
  • Maladie d’Alzheimer
  • Maladie de Parkinson
  • Maladie des motoneurones (p. ex., SLA)
  • Greffe d’un organe vital
  • Insuffisance rénale
  • Paralysie
  • Coma
  • Cécité
  • Surdité
  • Perte de la parole
  • Brûlures graves
  • Perte de membre
  • Infection VIH d’origine professionnelle
  • Tumeur cérébrale bénigne
  • Chirurgie de l’aorte
  • Remplacement valvulaire
  • Perte d’autonomie

Les garanties de remboursement de la prime au décès et à l’expiration sont disponibles sur de nombreuses polices. Elles donnent droit à un remboursement total ou partiel des primes versées, soit au décès, soit à la résiliation ou à l’échéance de la police.

Chaque police offre une combinaison unique de caractéristiques et d’avantages. Elles prévoient toutes une indemnité forfaitaire en cas de maladie grave, et la liste d’affectations couvertes est assez similaire pour la plupart d’entre elles. Mais de quel montant de protection a-t-on besoin? Communiquez avec nous pour déterminer ce dont vous avez besoin.

Qu’est-ce que le risque lié à la séquence des rendements au décaissement?

Il est souvent dit aux investisseurs de diversifier leur portefeuille en fonction de leur tolérance au risque et de s’y tenir, quelles que soient les conditions du marché, et ce, jusqu’à ce que leur situation personnelle change ou qu’un événement majeur survienne dans leur vie.

Quelle sera la durée de votre épargne?

Quoique ce principe demeure vrai, générer un rendement élevé lorsque vous êtes un investisseur entamant sa retraite est important, mais n’est qu’un des facteurs qui influent au bout du compte sur la durée de votre épargne. Un autre facteur important est la séquence de ces rendements. Autrement dit, les retraits périodiques réduisent la valeur d’un portefeuille, et c’est précisément sur cette valeur que reposent vos rendements futurs. Si vous enregistrez des rendements négatifs dès le départ, vous risquez d’épuiser vos économies beaucoup plus rapidement que si votre portefeuille avait atteint des rendements positifs au début.

Étudions les deux scénarios ci-dessous. Dans les deux cas, la personne nouvellement à la retraite commence avec un capital de 1 million de dollars. Chacune entend retirer 50 000 dollars par année.

La seule différence entre les deux cas est la séquence des rendements qui est inversée.

En effet, au début de sa retraite, madame Levert connaît des rendements positifs alors que ceux madame Lebrun sont négatifs.

Les effets néfastes qu'une série de rendements négatifs précoces peut avoir sur la valeur d'un portefeuille

Le taux de croissance annuel moyen est le même dans les deux scénarios, et s’il n’y avait aucun retrait, les montants finaux seraient les mêmes. Toutefois, comme des retraits sont effectués, l’ordre dans lequel les rendements sont gagnés est important : madame Lebrun se retrouve avec un manque à gagner à l’âge de 83 ans, alors que madame Levert dispose encore de 2,5 millions de dollars à 90 ans. Il y a tout de même un grand écart entre ces deux cas de portefeuille de retraite.

Alors, à titre d’investisseur, comment réduire le risque lié à la séquence des rendements? Atténuer les effets de la volatilité des marchés pourrait être une solution. Une diversification adéquate entre plusieurs classes d’actifs sans corrélation et créant une plus faible volatilité de portefeuille, surtout à l’approche des années de décaissement, peut générer des revenus et minimiser le risque de puiser dans les actifs pendant un marché baissier.

Bien que les chiffres utilisés dans l’exemple ci-dessus soient extrêmes et qu’il soit peu probable qu’ils se concrétisent dans les conditions réelles du marché, ils illustrent bien le concept, à savoir que la séquence des rendements d’un portefeuille de placement à partir desquels des retraits sont effectués peut avoir des répercussions importantes sur la situation générale à la retraite et qu’il est prudent de gérer ce risque.

Notes et références

Source des données du tableau : © Robert W. Baird & Co. Incorporâtes 2016. www.rwbaird.com